GROUPE D'EXPERTISE PLURALISTE
sur les sites miniers d'uranium du Limousin
L’exploitation minière de l’uranium a longtemps occupé en Limousin une place de première importance. Le déclin de cette activité à partir des années 1980 a conduit à la fermeture progressive des sites concernés. Ce processus a nécessité d’engager un intense travail technique et administratif afin de s’assurer d’une remise en état des sites conforme aux objectifs de protection des populations et de l’environnement.
La complexité du processus et la multiplicité des sites concernés ont donné lieu à des analyses divergentes sur les conditions de cette remise en état. Ces divergences, alimentées en particulier par des mesures et études menées à l’initiative d’associations locales ou nationales, ont conduit à des développements judiciaires et médiatiques importants au cours de ces dernières années. C’est dans ce contexte qu’a été décidée en novembre 2005 par les Ministres de l’écologie et du développement durable, de l’industrie et de la santé la création d’un Groupe d’Expertise Pluraliste (GEP) sur les sites miniers d’uranium du Limousin. Ses missions ont été renforcées par une nouvelle lettre de mission en novembre 2007, prolongeant son action jusqu’à la fin 2009.
Le GEP est composé de plus de trente experts de disciplines et d’origines diverses, incluant des institutionnels français et étrangers, des associatifs, des experts indépendants, et l’industriel, auxquels s’ajoutent d’autres experts dans les groupes de travail. Il a commencé ses travaux en juin 2006 et a déjà remis trois rapports d’étape (en janvier 2007, janvier 2008, et juillet 2009).
Le GEP est chargé de porter un regard critique sur les documents techniques fournis par l’opérateur minier Areva NC (anciennement Cogema) pour les sites de la Haute-Vienne, afin d’éclairer l’administration et l’exploitant sur les options de gestion et de surveillance à long terme des installations. Sa mission comporte également un rôle d'information du public, auquel il s'efforce notamment de répondre par l'intermédiaire de ce site.
La complexité du processus et la multiplicité des sites concernés ont donné lieu à des analyses divergentes sur les conditions de cette remise en état. Ces divergences, alimentées en particulier par des mesures et études menées à l’initiative d’associations locales ou nationales, ont conduit à des développements judiciaires et médiatiques importants au cours de ces dernières années. C’est dans ce contexte qu’a été décidée en novembre 2005 par les Ministres de l’écologie et du développement durable, de l’industrie et de la santé la création d’un Groupe d’Expertise Pluraliste (GEP) sur les sites miniers d’uranium du Limousin. Ses missions ont été renforcées par une nouvelle lettre de mission en novembre 2007, prolongeant son action jusqu’à la fin 2009.
Le GEP est composé de plus de trente experts de disciplines et d’origines diverses, incluant des institutionnels français et étrangers, des associatifs, des experts indépendants, et l’industriel, auxquels s’ajoutent d’autres experts dans les groupes de travail. Il a commencé ses travaux en juin 2006 et a déjà remis trois rapports d’étape (en janvier 2007, janvier 2008, et juillet 2009).
Le GEP est chargé de porter un regard critique sur les documents techniques fournis par l’opérateur minier Areva NC (anciennement Cogema) pour les sites de la Haute-Vienne, afin d’éclairer l’administration et l’exploitant sur les options de gestion et de surveillance à long terme des installations. Sa mission comporte également un rôle d'information du public, auquel il s'efforce notamment de répondre par l'intermédiaire de ce site.